Un juge n'a pas à condamner à mort
Alfie a comme tuteurs ses parents. Vincent, son épouse - contre ses parents.
Le petit Alfie n'a pas d'épouse. Il a l'unanimité de sa famille qui demande que l'hôpital lâche son otage et leur permette enfin d'exercer leur droit sacré de parents : servir la vie de leur enfant. Le Pape les soutient, l'Hôpital de Gesù Bambino est prêt à l'accueillir, l'Italie lui donne la nationalité pour favoriser le départ...
Et le juge britannique, usurpe les droits du seul Juge Suprême qui a ordonné "tu ne tueras pas", et va contre la Déclaration universelle des Droits de l'homme qui affirme ce droit à la vie (article 3) : "Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne". Ce juge britannique rejette tous les recours des parents, est sourd à la voix du Serviteur des serviteurs de Dieu, s'oppose au droit de tout homme à la vie, fait fi de la bonne volonté des médecins et de l'indicible souffrance des parents... et condamne inexorablement un enfant à la mort.
Autre détresse, en France cette fois... mais même absurdité de l'acharnement contre la vie d'un innocent. Même méthode de prise en otage, d'enfermement dans un même hôpital sans laisser aucune chance à l'adulte handicapé d'être pris en charge dans d'autres centres de France !
Même absurdité d'en devoir référer à la "Justice" pour implorer le droit à la compassion.
Même inversement significatif d'une médecine qui, de serviteur de la vie, est sommé de devenir maître de la mort.
Patients ! Faites appel à vos vrais droits : celui à être soigné, guéri, soulagé... au service de votre vie.
Christophore
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