Cette parole s’est malheureusement transformée en actes.
Elle a fait des morts.
L’affaire Halimi, la tuerie de Montauban et Toulouse, la tuerie de Bruxelles…
Face au racisme, à la judéophobie mortifère, le monde ne sait pas clairement nommer le mal. Ou fait semblant. Le monde semble paralysé, figé dans son impuissance.
Le temps des mots, le temps de battre le pavé est dépassé, révolu, car l’océan des conséquences est devant nous, prêt à nous submerger, à nous engloutir, nous d’abord, certes, nous sommes si peu nombreux, oserais-je le dire un détail, mais après nous, tous les démocrates, quelles que soient leurs couleurs, tous les amoureux de la liberté, d’ici et d’ailleurs.
Et cela aussi, nous l’avons déjà dit, sans succès.
On nous dit la loi, le respect de la loi.
Mais à quand l’application stricte et ferme des lois existantes pour prévenir et éviter le pire ?
Nous désirons vivre comme tous citoyens français, pouvoir nous réunir, prier, bref, vivre en paix et sans peur. Les yeux se déscillent enfin pour admettre qu’il s’agit là d’une guerre, une guerre contre l’occident pour les valeurs qu’il représente, une guerre contre le juif parce qu’il en est la quintessence symbolique.
C’est aujourd’hui la cible, la première cible, mais certainement pas la dernière.
L’ennemi a profité des failles de notre arsenal juridique et il semblerait que des textes soient en préparation pour les combler.
La main est au législateur.
Il est temps !
Il n’est que temps !
Mais les seules lois de la démocratie arriveront-elles à lutter contre cet ennemi qui, lui, se défie de ces lois.
Seule, une longue et forte détermination et pas seulement nationale, dans tous les domaines, politique, juridique, répressif, éducatif et religieux…, social, a une chance d’être efficace.
Si tel n’était pas rapidement le cas, l’hydre haineuse de tous les extrêmes continuera de prospérer sur les faiblesses de nos démocraties.
Elle a fait des morts.
L’affaire Halimi, la tuerie de Montauban et Toulouse, la tuerie de Bruxelles…
Face au racisme, à la judéophobie mortifère, le monde ne sait pas clairement nommer le mal. Ou fait semblant. Le monde semble paralysé, figé dans son impuissance.
Le temps des mots, le temps de battre le pavé est dépassé, révolu, car l’océan des conséquences est devant nous, prêt à nous submerger, à nous engloutir, nous d’abord, certes, nous sommes si peu nombreux, oserais-je le dire un détail, mais après nous, tous les démocrates, quelles que soient leurs couleurs, tous les amoureux de la liberté, d’ici et d’ailleurs.
Et cela aussi, nous l’avons déjà dit, sans succès.
On nous dit la loi, le respect de la loi.
Mais à quand l’application stricte et ferme des lois existantes pour prévenir et éviter le pire ?
Nous désirons vivre comme tous citoyens français, pouvoir nous réunir, prier, bref, vivre en paix et sans peur. Les yeux se déscillent enfin pour admettre qu’il s’agit là d’une guerre, une guerre contre l’occident pour les valeurs qu’il représente, une guerre contre le juif parce qu’il en est la quintessence symbolique.
C’est aujourd’hui la cible, la première cible, mais certainement pas la dernière.
L’ennemi a profité des failles de notre arsenal juridique et il semblerait que des textes soient en préparation pour les combler.
La main est au législateur.
Il est temps !
Il n’est que temps !
Mais les seules lois de la démocratie arriveront-elles à lutter contre cet ennemi qui, lui, se défie de ces lois.
Seule, une longue et forte détermination et pas seulement nationale, dans tous les domaines, politique, juridique, répressif, éducatif et religieux…, social, a une chance d’être efficace.
Si tel n’était pas rapidement le cas, l’hydre haineuse de tous les extrêmes continuera de prospérer sur les faiblesses de nos démocraties.
Le CRIF en action
Publié le 27 Juin 2014
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